jeudi 21 février 2013

Gros oeuvre

Ayet, ça commence enfin pour de vrai


Au menu : Toiture et charpente...

On commence par monter un petit peu d’échafaudage pour faciliter l’accès au bouzin :


Et on enchaine sur la découverture, sous la pluie, bien sûr car c'est plus rigolo...


Du coup, on découvre petit a petit, on met de suite un lé de pare pluie, et on recommence jusqu'en haut.


Ça fait pas mal de saloperie, les vieilles tuiles... On a pas encore de goulotte alors on empile a l’intérieur, et devinez qui c'est qui se prend tout sur la gueule. C'est bibi... Ah j'en ai avalé des morceaux de tuile, mousse et autres merdasses qui poussent sur les toits.

Un couvreur, ça utilise assez peu d'outils en fait : en premier, sa tête, et c'est important, un marteau, une tronçonneuse et un cloueur a gaz :



Ça, ça sera pour plus tard, y a encore pas mal de taff avant :


Taille minimale, négociation ardue avec les architectes des bâtiments de France...

Un peu de matière première :


On en profite avec les charpentiers pour faire une isolation extérieure (qui sera sous bardage bois)

Panneaux rigides de fibre de bois et pare pluie...


Pendant ce temps les couvreurs lattent a tout va :


Je suis là aussi, je bosse avec eux, si si.


Bon OK de temps en temps j'en profite pour admirer la belle vue qu'on a depuis les toits...


L'église saint Georges et la tour des sorcières :


Mes voisins d'en face :


Là, c'est moi qu'a pété la dalle, et c’était pas de la tarte, gros Flex et masse :


Au même moment, a quelques centimètres de mes muscles tout endoloris, les charpentiers s'amusaient a faire les clébards couchés:








Mais en Décembre, des fois y a de la neige...


Et c'est...


Chôliment beau...


Alors pour bosser sur le toit, c'est pas hyper cool, ça glisse un peu.

Donc pause du chantier, reprise après nouvel an. Suite au prochain épisode...

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